Énorme coup de coeur pour Tirana, que j'ai eu de la peine à quitter. Ville avec une histoire incroyable. Capitale complétement coupée du monde jusqu'en 1992, son histoire est incroyable et les traces de son passé omniprésentes.

J'aurais la chance de rencontrer de nombreuses personnes, étudiants, artistes ou encore organisateurs d'événements.

Attention ! Si vous faites pipi dans les rues de Tirana vous serez affichés sur youtube !

Lors de mon séjour je visiterai un musée dédiés aux fameux bunkers et à l'histoire Albanaise avant et pendant le régime communisme, qui fut encore plus extrême que dans les autres pays, avec entre-autre une isolatiom complète du pays, qui n'aura aucun contact ou échange avec l'international, si ce n'est la chine jusqu'en 1992. Evidemment les frontière seront aussi complètement fermées, que se soit pour rentrer ou sortit du pays.

Le musée se trouve lui-même dans un gigantesque bunker.

C'est donc une psychose des dirigeants, une peure d'invasion et une envie de résister quoiqu'il arrive qui les poussera à construire planifier 205'000 bunkers et à en construire 175'000 ! Oui, 175'000 bunkers, qui sont tous encore omniprésents dans le paysage Albanais.


Montée sur la fameuse pyramide de Tirana, ancien musée dédié à la gloire de Hoxha, dirigeant communiste Albanais.

La ville est très colorée, car il a été décidé que tout les batiments aux couleurs sombres, construits pendant la période communiste, soit repeints en couleurs vives.

Dans mon aubege je rencontrerai entre-autre Erouane, un artiste de rue qui parcours le monde depuis 25 ans. Il jongle dans les rues du monde et vit au jour le jour de l'argent qui lui est jeté dans son chapeau.

J'ai eu la chance de pouvoir le suivre un après-midi, et d'être emerveillé comme les enfants de Tirana, pour qui le jonglage est quelque chose d'inconnu.

Les aurevoirs étaient difficiles, et il était très tentant de rester un jour de plus, ou deux, ou encore plus...