N'ayant pas envie d'être victime des prix exagérés, et voulant fuire la foule et le traffique, je quitte la route principale de la côte croate 15km avant Dubrovnik et grimpe dans les montagnes direction la Bosnie-Herzégovine. Un choix que je ne regretterai pas.

Je commence alors à suivre cette voie-ferrée abandonnée, qui a été bétonnée et transformée en piste cyclable. Deux jours de vélo innoubliables, à voyager à travers le temps.

Gares abandonnées, villages entiers ayant perdus leurs utilités, ponts, tunnels, et autres structures... Le tout complétement plat (dt à travers les montagnes) car un train ça doit aller à plat !

Sur ma route je croiserai pour la troisième fois par hasard Baptiste (que je recroiserai encore deux fois pas hasards en Bosnie-Herzégovine). A chaque fois de bon moments partagés !

Les traces de la guerre sont encore plus que visibles ici, et avant de le percevoir chez les locaux, ou sur les murs des maisons, je verrai juste à côté de ma route, des traces rendues évidentes par des panneaux.