L'entrée à vélo dans Istanbul est assez particulière, tant cette ville est grande et le traffic dense.

Le train me dépose à 40km du centre-ville, mais le paysage est déjà constitué de gratte-ciel et les rues bondées à 6h30 du matin.

A peine sorti de la gare, je traverse un parc et me fait acceuillir à Istanbul par des amis qui me suivront pour une bonne partie du voyage. Les chiens errants. Sans avoir le temps de m'en rendre compte, 7 ou 8 chiens commencent à me courrir après. Mon premier réflex est de pédaler le plus vite possible, mauvais reflex, les chiens sont rapides et ils n'ont pas l'air de rigoler. Je trouve finalement une issue de secour, la route. Je me mèle au traffic et les chiens me lachent.

Pour la suite du voyage, j'adopterai le bon réflex, qui est d'immédiatement descendre du vélo et leur faire face.

Pour me rapprocher de mon auberge, je jongle entre routes bondée et pistes cyclables dans les parcs (neuves & belles mais discontinues & innutilisées).

Sur ma droite, les cargos semblent presque immobiles, s'approchants lentement du Bosphore.

Arrivé !